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mercredi 23 avril 2008

LE PETROLE: Vue Panoramique Pétrole

FOREUSE ATLAS COPCO POUR MINE A CIEL OUVERT


 LE DUMPER 797 EN COMPARAISON AVEC UNE VOITURE ORDINAIRE ( TRONTALE )


 LE DUMPER 797 EN COMPARAISON AVEC UNE VOITURE ORDINAIRE ( FAÇADE )


 LE DUMPER 797 EN COMPARAISON AVEC UNE VOITURE ORDINAIRE ( FRONTALE )


 LE DUMPER 797 EN COMPARAISON AVEC UNE VOITURE ORDINAIRE ( FRONTALE )


UNE PELLE HYDRAULIQUE LIEBHERR ET UN DUMPER LIEBHERR EN DEMONSTRATION




LE PETROLE : Vue Panoramique Pétrole
Le pétrole, du latin petra pierre et oleum huile (soit « huile de pierre »), est une roche liquide carbonée minérale.
Energie fossile, son exploitation est l’un des piliers de l’économie industrielle contemporaine. Le pétrole est aussi appelé or noir en référence à sa couleur et à son coût élevé.

Une roche visqueuse

Formation


Le pétrole est un produit du passé géologique d’une région, issue de la succession de trois circonstances exceptionnelles :

Première étape- accumulation de matière organique
Deuxième étape- maturation de la matière organique
La « roche mère » ou « roche source », voit ses conditions de température et de pression augmenter. La matière organique se transforme d’abord en kérogène. Si la température devient suffisante (au moins 50° C, plus selon la nature de la roche et du kérogène), et si le milieu est réducteur (pauvre en oxygène, dans le cas contraire le kérogène sera simplement oxydé), le kérogène sera pyrolysé de façon extrêmement lente.
Le kérogène produit du pétrole et/ou du gaz naturel.
Si sa pression devient suffisante ces fluides s’échappent, ce qu’on appelle la migration primaire. En général, la roche source a plusieurs dizaines, voire centaines de millions d’années quand cette migration se produit. Le kérogène lui-même reste en place, appauvri en hydrogène.
Troisième étape- piégeage des hydrocarbures
Zone perméable (généralement du sable, des carbonates ou des dolomites) qu’on appelle la « roche réservoir »,
Couche imperméable (composée d’argile, de schiste et de gypse) qu’on appelle « roche piège ».
Il existe plusieurs types de pièges. Les plus grands gisements sont en général logés dans des pièges anticlinaux. On trouve aussi des pièges par faille ou mixtes anticlinal-faille, des pièges formés par la traversée des couches par un dôme salin, ou encore crées par un récif corallien fossilisé.

C’est de cette façon que se crée un gisement de pétrole. Comme il est lui-même entraîné dans la tectonique des plaques, l’histoire peut ne pas s’arrêter là. Il peut être enfoui plus profondément et se pyrolyser à nouveau, donnant un gisement de gaz naturel.
On voit ainsi qu’il faut un véritable concours de circonstances pour mener à la création d’un gisement de pétrole (ou de gaz), ce qui explique d’une part que seule une infime partie de la matière organique formée au cours des ères géologiques se soit transformée en énergie fossile et, d’autre part, que ces précieuses ressources soient réparties de manière très disparate dans le monde.

Composition

On distingue les pétrole en fonction de leur origine et donc de leur composition.

Il est possible de distinguer les différents types de pétrole selon leur densité, leur fluidité, leur teneur en soufre et d’autres impuretés (vanadium, mercure et sels) et leur teneur en différentes classes d’hydrocarbures. le pétrole est alors paraffinique, naphténique ou aromatique.

Ile est aussi possible de les classifier parfois selon leur provenance (golfe persique, mer du Nord, Venezuela, Nigéria), car le pétrole issu de gisements voisins a souvent des propriétés proches.

Il existe des centaines de bruts de par le monde. Certains servent comme étalon pour établir le prix moyen du pétrole en provenance d’une région donnée. Les bruts les plus connus sont l’Arabien Light (brut de référence du Moyen Orient), le Brent (brut de référence européen) et le West Texas Intermediate (WTI, brut de référence américain).
Il faut signaler qu’il y a des bruts aptes à faire du bitume, ce sont des bruts très lourds de types Boscan, Tia Juana, Bachaquero ou Safaniyah.

Les deux principaux critères pour classer les centaines de bruts différents qui existent sont la gravité ( la densité) et la teneur en soufre, depuis le plus léger et le moins sulfureux qui est du condensat, jusqu’au plus lourd et au plus sulfureux qui contient 90% de bitume environ : c’est le brut d’Italie.

Historique

Usage préindustriel


L’usage du pétrole remonte à l’antiquité, mais l’approvisionnement était limité aux affleurements naturels de pétrole, et au pétrole trouvé accidentellement en creusant des puits pour trouver de l’eau potable ou de la saumure. Ces sources étaient faibles et irrégulières.
Les civilisations mésopotamiennes s’en servaient comme produit pharmaceutique, cosmétique et comme combustible pour les lampes à huile. Les Egyptiens employaient de l’asphalte pour la momification.
Au moyen âge, il a été utilisé par les Byzantins, puis les Vénitiens, dans la préparation du « feu grégeois » pour incendier et couler les navires ennemis.

1859-1901 : la naissance d’une industrie

Le colonel Edwin Drake (USA) fora son puits en Pennsylvanie, dans une région connue pour les affleurements de pétrole, et produisit les premiers barils de l’ère moderne.
Il s’ensuivit une « ruée vers l’or noir » dans différents régions du monde.

1901-1945 : changement d’échelle

Foré en 1901, le premier puits dans le gisement de Spindletop au Texas inaugura une ère nouvelle creusé dans un réservoir profond et non indiqué par des affleurements. Il produisit 80 kbbls/j après son percement.
Vers la même époque, le moteur à explosion se généralise, créant une nouvelle demande pour les carburants liquides. La production augmente de façon soutenue jusqu’à la seconde guerre mondiale.
Des gisements de pétrole de grande taille, comme East Texas ou Kirkouk, furent si prolifique que l’inquiétude principale était alors de savoir comment écouler la production. Le pétrole devint une source d’énergie majeure, au même titre que le charbon. Pendant les deux guerres mondiales, l’approvisionnement en pétrole des belligérants fut un enjeu majeur.

1945-1973 : l’abondanceLa forte croissance économique qu’ont connue les pays développés entre 1950 et le milieu de 1970 n’a pu se réaliser qu’au prix d’un très fort accroissement de la consommation d’énergie. En effet, cette consommation a triplé en 20 ans.
Au cours de cette période, le pétrole bon marché détrôna progressivement le charbon. Dans le même temps, il permet la révolution verte.
A cette époque, le pétrole était encore « facile » : les gisements se trouvaient facilement. D’immenses gisements faciles à exploiter, peu déplétés, étaient capables d’offrir de la production supplémentaire.
Du point de vue technico-économique, comme conséquence de ce fort accroissement des moyens de transports (transport maritime et par oléoduc) entraînant une diminution importante des coûts.
La seule inquiétude restait le risque d saturation du marché. Les prix étant clairement orientés à la baisse, les pays disposant des plus vastes réserves constituèrent, en 1960, l’Organisation des Pays Producteurs de Pétrole (OPEP).

1973-1985 : les crises pétrolières

La nationalisation des hydrocarbures (1971 en Algérie, 1972 en Irak, 1973 en Libye).
En octobre 1973 éclata la guerre du Kippour. Les pays arabes, déjà mécontents de la dévaluation du dollar américain qui servait à payer leur pétrole, décrétèrent un embargo pétrolier.
Le prix du pétrole bondit de 3 à 13 USD. Une crise encore plus grave eu lieu en 1979 provoquée par la Révolution iranienne. Le prix culmina à 40 USD en 1981.
Les efforts en matière d’énergie nucléaire furent intensifiés, ainsi que les économie d’énergie.
La croissance de l’économie mondiale marquera un coup d’arrêt. Les répercussions politiques furent importantes. Les chocs pétroliers eurent des impacts variés dans la vie quotidienne : réduction de la cylindrée des voitures, etc.

1986-2001 : le retour à l’abondance ?Une nouvelle période de prix relativement bas à partir de 1986 est due à la conjoncture de plusieurs phénomènes. D’une part, les pays du Golfe augmentent massivement leur production. Il s’agit en partie d’un plan convenu avec les Etats-Unis dans le but de « couler » l’économie soviétique, pour laquelle le pétrole représente une source de devises importantes. Les pays du Golfe, contrairement à l’URSS, ont des coûts de production bas, et peuvent donc supporter une baisse du prix du baril.
D’autre part, le pétrole des nouvelles régions explorées en réponse aux chocs pétroliers est exploité intensivement.
Les inquiétudes sur l’approvisionnement en pétrole s’estompent. Les efforts en matière d’efficacité énergétique et d’énergies nouvelles sont relâchés. La catastrophe de Tchernobyl contribue aussi à réduire les programmes nucléaires.
Le prix oscille entre 10 et 20 USD jusqu’en 2001, sauf un pic au moment de la guerre du Koweït. Il passera même sous les 10 dollars en 1998, sous le double effet d’une reprise de la production irakienne et d’une crise financière en Asie.

Depuis 2002 : l’inquiétude

En 2006, le prix du pétrole se situe près des 75 USD, soit cinq fois plus qu’en 2001. Cette hausse a pris tous les analystes par surprise, d’autant qu’elle s’est produite sans raison politique majeure, contrairement aux chocs des années 1970.
Si les paramètres momentanés (ouragans, rupture d’oléoducs, incidents politiques, situation au Venezuela) sont intervenus, les raisons de fond sont :

- la hausse de la demande, en particulier de la chine,
- l’épuisement rapide des réserves de certaines régions, comme la Mer du Nord, qui ont été exploitées très intensément,
- les investissements trop faibles de la précédente. Actuellement, tous les éléments de la chaîne pétrolière (derricks, gisements, oléoducs, pétroliers, raffineries) sont vieux et utilisés à 100% de leur capacité.
- L’incapacité des pays du Golfe à augmenter suffisamment leur production, du fait du vieillissement de leurs grands gisements, dont la plupart sont exploités depuis 40 ans ou plus.

L’investissement est relancé, mais l’exploration offre des retours sur investissement bien plus faibles que jadis. L’OPEP n’a plus de capacité de production en réserve et a donc perdu son contrôle des prix. L’OPEP comprend actuellement l’Iran, l’Arabie Saoudite, le Venezuela, l’Irak, le Koweït, le Qatar, l’Indonésie, la Libye, l’Algérie, le Nigeria, l’Equateur, le Gabon, l’UAE. Le but de l’OPEP est de stopper la baisse des prix liée à une diminution du dollar sur le marché des échanges.

Courant 2006, les prix se sont légèrement tassés aux environ de 60 dollars. La raison est principalement un ralentissement politique dans certains pays producteurs, notamment le Nigeria.

Depuis la fin de 2007, le prix du baril de pétrole ne fait augmenter et cela à des coût supérieurs à 100 USD.

Qui profite de cette situation ?

En premier : l’Etat. La TIPP est devenue une manne financière indispensable pour notre pays qui a besoin de cet argent pour essayer de boucler son budget. Baisser le prix des carburants de quelques centimes reviendrait à perdre des millions d’euros.
En second : les compagnies pétrolières qui voient leurs chiffres d’affaire croître. Petit bémol, avec la situation actuelle, leurs cours en bourse ne suivent plus. Les compagnies parapétrolières qui conçoivent par exemple les plates-formes ou installent les pipe-lines sont celles qui y gagnent actuellement le plus. Pour essayer de réduire le malaise qui est en train de naître l'UFC-Que Choisir suggère aux pétroliers de partager leurs profits en multipliant les capacités de raffinage pour diminuer les prix à la pompe.
En troisième : Les pays producteurs qu’ils fassent partie ou non de l’OPEP. Ces derniers profitent de l’aubaine pour renégocier leurs contrats à la hausse avec les principales compagnies pétrolières.

Cette augmentation va t-elle durer ?

Depuis quelques années, les variations du prix du pétrole pourraient être comparées au mouvement d'une balle rebondissant dans un ascenseur qui monte : il y a une tendance de fond à la hausse, avec en plus le risque de fortes fluctuations.L'accroissement de la production de brut devrait demeurer la principale contrainte pesant sur les prix. Pour des raisons tant géologiques que politiques, les compagnies internationales ont de plus en plus de mal à augmenter leur offre et sont obligées de se tourner vers des gisements toujours plus techniques (offshore très profond, pétroles technologiques, etc.), donc toujours plus coûteux. En revanche, les besoins en énergie continuent de se développer dans les pays émergents où l'élévation du niveau de vie permet aux classes moyennes de s'équiper en automobile ou en électroménager.A l'horizon des prochaines années, il n'y a donc aucune raison d'espérer que la tendance haussière ne s'inverse. On est un peu dans la même situation que lors du premier choc pétrolier en 1973.

Quelles sont les raisons d’une telle hausse des prix à la pompe ?

Il y a deux choses qui peuvent expliquer cette croissance ininterrompue des tarifs : Contexte monétaire : plus le dollar continu à se déprécier, plus le prix du baril monte car le carburant est moins cher pour les pays non américains (Chine, Inde, Asie et Europe). Donc la consommation s'élève, ce qui a des répercutions sur les coûts. Contexte géopolitique. Toutes les incertitudes politiques, économiques et sociales des pays producteurs entraînent des augmentations du baril. Actuellement, c’est le nord de l’Irak et bien sûr l’Iran qui inquiètent.

Jusqu’où les prix peuvent-ils monter ?

Difficile à dire. Auparavant, on parlait de la barre mythique des 100 $. On est y presque. A l’heure actuelle, on ne peut pas prévoir…On peut donc s’attendre au pire…Des solutions ?A courte échéance non. Réduire les taxes ne serait qu’un placebo passager qui pourrait aboutir à l’effet inverse souhaité c’est à dire à une nouvelle flambée des prix.Les automobilistes vont devoir s’habituer à vivre avec des prix aussi élevés. Il faut donc se montrer particulièrement vigilant à la consommation lors d’un achat de véhicule et l’utiliser avec parcimonie.Seul point positif, cette situation risque d’accélérer la mise au point de solutions alternatives au pétrole, mais celles-ci dépendent également du bon vouloir des différents gouvernements.

L’or noir

Un baril de pétrole représente exactement 42 gallons soit 158,987 litres. Mais on utilise généralement les unités Gbbls et Mbbls/j avec les préfixes « M » et « G » signifiant respectivement million et milliard.
A titre d’exemple, le plus grand réservoir connu de pétrole, Ghawar, contient environ 70 Gbbls extractibles et la production mondiale est de 81 Mbbls/j, c’est-à-dire 12,9 millions de mètre cube.

Exploration et production du pétrole

L’industrie pétrolière se sépare schématiquement en « amont » (exploration, production) et en « aval » (raffinage, distribution).
La production, ou plutôt l’extraction du pétrole, peut être une opération complexe : pour maximiser la production finale, il faut gérer un réservoir composé de différents liquides aux propriétés chimiques très différentes (densité, fluidité, température de combustion et toxicité, entre autres).
Au cours de la vie d’un gisement, on augmente le nombre de puits de production pour accéder aux poches restées inexploitées.
En règle générale, on injecte de l’eau et/ou du gaz, via des puits distincts de ceux qui extraient le pétrole. Une mauvaise stratégie d’exploitation (mauvais emplacement des puits, injection inadaptée, production trop rapide) peut diminuer de façon irréversible la quantité de pétrole extractible.
Compagnies pétrolières

L’industrie pétrolière est un pilier de l’économie mondiale : sur les dix plus grandes entreprises privées de la planètes, cinq sont des compagnies pétrolières.
Il existe plusieurs sortes de compagnies pétrolières :
- les grandes compagnies privées multinationales et verticalement intégrées (c’est-à-dire concentrant les activités d’exploration, production, raffinage, et distribution), dites « majors » telles que BP, Shell, Total et Lukoil.
- Les raffineurs, qui ne détiennent que l’aval (raffineries et éventuellement stations-service)
- Les indépendants, qui ne font que chercher et produire du brut pour le vendre à des raffineurs
- Les compagnies nationales, qui sont elles-mêmes assez diverses.
Notons qu’en termes de production de pétrole, Aramco équivaut à 4 fois Exxon Mobil, première compagnie privée par le chiffre d’affaires. Enfin, certains petits pays producteurs ont une compagnie nationale qui n’a en réalité guère d’activité industrielle et a surtout pour rôle de commercialiser la part de la production revenant à l’état.

Commerce du pétrole et des produits pétroliers
La valeur d’un pétrole brut dépend de sa provenance et de ses caractéristiques physico-chimiques propres qui permettent, après traitement, de générer une ou moins grande quantité de produits à haute valeur marchande.
Pour simplifier, on peut dire que plus le pétrole est léger (c’est-à-dire apte à fournir une grande quantité, après traitement, de produits à forte valeur marchande) et moins il contient de soufre, plus il coûte cher. Dans une moindre mesure, la distance entre l’endroit ou est vendu le pétrole et les régions importatrices intervient également.

Impacts du pétrole
Le développement de l’industrie pétrolière a fourni les carburants liquides qui ont permis la deuxième révolution industrielle et a donc considérablement changé le cours de l’histoire. En ce sens, le pétrole est véritablement un successeur du charbon, qui avait rendu possible la première révolution industrielle.

Economie
Le pétrole étant le plus gros commerce de la planète en valeur (et en volume), il modifie considérablement les flux de devises.
Les fluctuations du prix du pétrole ont un impact direct sur le budget des ménages, donc sur l consommation dans les pays développés.
La découverte de réserves de pétrole dans un pays est souvent perçue comme un « miracle » pour son économie.

Société
Devenu indispensable à la vie quotidienne, le pétrole a un impact social important. On a vu des « meutes parfois violentes dans certains pays suite à des hausses de prix.
Dans les pays développés, une hausse du prix du pétrole se traduit par un accroissement du budget consacré à la voiture, mais dans les plus pauvres, elle signifie moins d’éclairage et moins d’aliments chauds, car le kérogène est souvent la seule source d’énergie domestique disponible.
Outre que le pétrole est utilisé dans toutes les industries mécaniques comme énergie de base, ses activités chimiques servent à la fabrication de toutes sortes de produits. Ce faisant, le pétrole est devenu indispensable et par conséquent très sensible stratégiquement.

Environnement

Les marées noires sont l’image la plus spectaculaire des dangers du pétrole pour l’environnement.
L’impact environnemental le plus inquiétant du pétrole est l’émission de dioxyde de carbone résultant de son utilisation comme carburant.
L’extraction pétrolière elle-même n’est pas sans impact sur les écosystèmes locaux même si, comme dans toute industrie, les risques peuvent être minimisé par des pratiques prudentes.
Les effets des dégazages ou même ceux plus cachés comme l’abandon des huiles usagées ne sont pas à négliger.

Sciences et techniques
L’exploitation pétrolière a rendu nécessaires de grands progrès en géologie, du moins pour la compréhension des bassins sédimentaires.
Dans le domaine technologique, la contribution la plus évidente de l’industrie pétrolière est l’amélioration des techniques de forages, qui profite à d’autres domaines comme l’énergie géothermique.
Mais indirectement le pétrole, en fournissant les carburants liquides nécessaires, a permis le développement de l’automobile et de l’aviation. En revanche, cette source d’énergie relativement bon marché a freiné la recherche pour d’autres ressources énergétiques mais pas pour longtemps avec les flambées actuelles des prix.

Géopolitique
Le pétrole est une donnée largement prise en compte par les stratèges géopolitiques. En effet, la dépendance des sociétés envers ce produit est telle qu’une difficulté d’approvisionnement (coût, diminution de la production…) peut en soi justifier un conflit.

Culture et symbolique

Le pétrole est devenu un symbole de la richesse et de la chance, supplantant largement l’or qui avait longtemps tenu ce rôle.

dimanche 9 mars 2008

CURRICULUM VITAE EN FRANCAIS

Nom : KANTE E.mail : kante_mohamed2000@yahoo.fr
Prénom : MOHAMED Tel : (00225) 08842209
Adresse : BP 175 DALOA Nationalité : Ivoirienne
(République de Côte d’Ivoire) Situation matrimoniale : célibataire sans enfant


CURRICULUM VITAE

PARCOURS SCOLAIRECYCLE SUPERIEUR

2006-2009 : Diplôme d'Ingénieur Pétrole à l'Institut des Technologies d'Abidjan (ITA)www.ita-education.net.
2009 : 3ème année d'Ingénieur Pétrole à l'Institut des Technologies d'Abidjan (ITA).
2008 : 2ème année d’Ingénieur Pétrole à l’Institut des Technologie d’Abidjan (ITA).
2007 : 1ère année d’Ingénieur Pétrole à l’Institut des Technologie d’Abidjan (ITA).
2003-2006 : DTS (Diplôme de Technicien Supérieur) en Mine et Géologie à l’Institut
National Polytechnique Félix Houphouët Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro

CYCLE SECONDAIRE
SECOND CYCLE

Etablissement : Lycée Scientifique de Yamoussoukro (Côte d’Ivoire)
Durée : 3 ans (2000-2003)
Diplôme obtenu : Baccalauréat série C

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES

- DEPUIS AOÛT 2012 : INGÉNIEUR DE PRODUCTION A LA MINE D'OR DE TONGON ( Domaine : Chargement & Transprot ; Forage & Minage )

- Formation CATERPILLAR sur l'Optimisation de la Production dans le PIT

- Stage à la Direction Générale des Hydrocarbures (2009-2010) pour le Memoire de Fin de
Cycle Ingénieur.
THEME : Conception d'un progiciel pour le suivi des exonérations de matériels pétroliers.
Durée : six (06) mois

- 3e année (2005-2006) : Projet de Fin d’Etudes sur le thème : Impact des activités
d’exploitations d’Or dans le Yaouré sur l’Environnement;
Durée: deux (02) mois

- 2e année (2004-2005) : _ Stage intégré Long à la GESTOCI (société de Gestion
des Stocks Pétroliers de Côte d’Ivoire);
Durée: trois (03) mois

_ Sortie d'étude à Issia sur la prospection minière: elle a
consisté à rechercher un minéral appelé la Colombo-
Tantalite

- 1ère année (2003-2004) : Stage d’immersion au Ministère des Mines et de l’Energie
de DALOA (Côte d’Ivoire); durée: un (01) mois

AUTRES

Sports et loisirs : Basket-ball, Lecture .
Langue parlée : Français (très bien), Anglais (bien), allemand (moyen).
Informatique : Internet, Windows, Word, Excel, PowerPoint, Access, AutoCad…


J’atteste sur l’honneur de l’exactitude des renseignements fournis

CURRICULUM VITAE IN ENGLISH

Name : KANTE E-mail: kante_mohamed2000@yahoo.fr
First name : Mohamed Phone: (00225) 08842209
Adress : 13 BP 59 Abidjan 13 Country: Côte d' Ivoire


CURRICULUM VITAE TRANSLATED IN ENGLISH
QUALIFICATIONS2006-2009 : Diploma in Petroleum Engineering from Technologies Institut of Abidjan
2009 : Last year of academic study in Petroleum Engineering at Technologies Institut of Abidjan
2008 : Second year of academic study in Petroleum Engineering at Technologies Institute of
ABIDJAN: http://www.ita-education.net/
2007 : First year of academic study in Petroleum Engineering at Technologies Institut of Abidjan
2006: DUT (BAC + 3) in Mining and Geology from Ecole Supérieure des Mines et Géologie
(ESMG) at Institut National Polytechnique of Yamoussoukro (INP-HB)

2002-2003: Baccalaureate in science from Lycée Scientifique of Yamoussoukro.


WORKS EXPERIENCES
SINCE AUGUST 2012 : PRODUCTION ENGINEER AT TONGON GOLD MINE ( LOAD & HAUL - DRILL & BLAST )

- CATERPILLAR TRANING : OPTIMISATION OF PRODUCTION IN THE PIT

2009-2010 : (06 mounths)
Training course at the Head Office (General Management) of Hydrocarbons for the Memoire of the end of studies of Petroleum Engineer
Subject : Conception of a software package for the follow-up of oil materials (equipments)

2006: (03 months) School Term Projects
Subject: Impact of Yaouré gold exploitation working on the environment

2005: ( 03 months ) GESTOCI : Management Company of Storage of Oil Products of Côte d'Ivoire
Subject: Reception study and optimization of bitumen heating technicals

2004: (01 month) Energy and Mining Ministry of DALOA (Côte d' Ivoire)
Subject: Literature in ministry


OTHERS INFORMATIONS

. Good knowledge of computer science: Microsoft office, Visual Basic

. Language mastered: French, English

. Sports and leisure: Basket-ball, reading

. Country visited: Côte d' Ivoire, Guinea, and Nigeria.

Ma formation d'ingénieur

Ma formation d' ingenieur pétrole My training of Petroleum Ingineer

Mes compétences My skills

. Exploration pétrolière ( sismique,géologie, . Oil exploration ( seismic, geology and
et diagraphies ) logging )

. Exploitation des hydrocarbures ( forage, . Hydrocarbons exploitation ( drilling,
reservoir engineering, production, gestion reservoir engineering, production, and
de plateforme ) plateform management )

. Valorisation du pétrole ( pétrochimie, procédés . Valorisation of oil ( petrochemistry,
de raffinage ) refining process )

. Contrôle de qualité et stockage des produits . Quality control and storage of oil
pétroliers products

. Gestion et distribution des produits pétroliers . Management and distribution of oil products

. Economie pétrolière . Oil economy

. Environnement et sécurité . Environment and security

. Evaluation de gisement . Valuation of reserve

. Législation et fiscalité pétrolière . oil and gas laws and tax regulations

Membres